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INFORME SES MEMBRES DEPUIS 1977 / NUMERO 750 / NOVEMBRE 2021

Anne Vinet-Roy

C’est entre nos mains!

Vous êtes probablement déjà au courant de l'important projet de consultation qu'a lancé l'AEFO le 3 novembre. C'est un projet d'envergure, mandaté par vos élues et vos élus du conseil d'administration, auquel je crois profondément. Entre nos mains : l'école de demain est une vaste consultation qui sera menée auprès de vous, les membres, de nos partenaires et de la population franco-ontarienne pour nous assurer, collectivement, que nos élèves actuels et les générations futures, puissent continuer d’avoir accès à ce à quoi ils ont droit : un excellent système d'éducation de langue française. 

Si vous êtes d'avis qu'un tel projet est ambitieux, voire même audacieux, et bien ça l'est. Mais avec la place de choix qu'occupe le leadership social dans les actions de l'AEFO, vos élues, vos élus et moi-même sommes d'avis que l'AEFO est bien placée pour mobiliser un grand nombre de francophones autour d'un objectif commun, c'est-à-dire celui de l'avenir de nos écoles de langue française, et par ricochet, nos communautés francophones d'un bout à l'autre de la province.

Certaines présidences locales ont déjà commencé à partager des informations sur les étapes et les mécanismes de participation pour vous, en tant que membre de l’AEFO. Sachant très bien que votre temps est précieux et que vos horaires professionnels et personnels sont très chargés, je souhaite de tout cœur que chacune et chacun de vous, cher membre, puisse profiter de diverses occasions – soit par l’entremise d’une consultation auprès de votre unité, ou bien en répondant au questionnaire qui vous sera envoyé en janvier – afin de contribuer activement à cette importante conversation provinciale, toutes professions confondues.

L'école franco-ontarienne fait face à des défis, nous sommes bien d'accord, et ce depuis bon nombre d'années. C'est pour cette raison que nous devons, collectivement, prendre le temps d'avoir les conversations qui s'imposent, pour s'ouvrir à une multitude de possibilités afin d'assurer la pérennité de nos communautés scolaires francophones d'un bout à l'autre de la province. Et dans le cadre de ces discussions, sachez que l'AEFO n'a aucunement l'intention de prendre position, pour ou contre, sur ce qui nourrira la réflexion. L'AEFO mène la consultation, mais le résultat, quel qu'il soit, sera partagé avec la collectivité franco-ontarienne.

En nous inspirant du proverbe africain « tout seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin », je suis convaincue que la voix des 13 000 membres de l'AEFO, ainsi que celle de la communauté francophone de l'Ontario dans son ensemble, est plus importante que jamais afin de faire une différence dans cet important processus. J'ai confiance que nous y arriverons ensemble!

Anne Vinet-Roy
Présidente de l’AEFO

Ma convention, mes droits

Mon employeur et moi ne sommes pas d'accord sur un point. Je voudrais en parler à l'AEFO, mais je crains les répercussions. Que dois-je faire?

Dans un premier temps, l'AEFO vous conseille d'avoir une conversation courageuse avec votre employeur pour essayer de trouver un terrain d'entente. Cependant, dépendant du rapport que vous entretenez avec votre employeur et des circonstances, il se peut qu'une telle discussion ne soit pas la meilleure option pour vous. Dans ce cas, vous pouvez choisir d'en parler avec votre déléguée syndicale ou votre délégué syndical. Si cette option ne vous convient pas, n'hésitez pas à communiquer avec l'agente ou l'agent de votre unité.

Que fait mon agente ou mon agent d'unité?

Les agentes et les agents d'unité font bien plus que participer aux négociations collectives pour votre unité. Ce sont des spécialistes en relations de travail (le lien qui unit un employeur et le personnel), qui ont une connaissance approfondie de votre convention collective. Les agentes et les agents connaissent bien les lois, les politiques et les règlements qui régissent votre travail.

Pour toutes ces raisons, votre agente ou votre agent est la personne toute désignée pour pouvoir vous donner un coup de main en cas de mésentente avec votre employeur. N'hésitez donc surtout pas à lui envoyer un courriel ou à lui téléphoner.

Mon employeur saura-t-il immédiatement que j'ai contacté mon agente ou mon agent?

Non, pas du tout. Le premier rôle de votre agente ou votre agent est de vous écouter. Elle ou il vous posera sans doute des questions pour mieux comprendre votre situation. Une fois que les faits auront été établis, votre agente ou votre agent vous conseillera sur la meilleure façon de procéder. N'ayez aucune crainte à ce sujet. Votre agente ou votre agent ne communiquera jamais avec votre employeur sans en avoir discuté auparavant avec vous. Et, d'autre part, communiquer avec votre syndicat fait partie de vos droits.

Toute une équipe derrière vous!

Votre agente ou votre agent est entouré d'une solide équipe qui peut lui offrir des conseils et l'appuyer dans ses démarches. Cette équipe est composée de la présidence de votre unité, d'une ou d'un cadre en relations de travail du bureau provincial et de la direction générale adjointe de l'AEFO.

Dans plusieurs cas, une rencontre avec votre employeur peut suffire. D'autres cas nécessitent une approche différente, pouvant aller jusqu'au recours juridique. L'AEFO travaille alors de concert avec des conseillères et des conseillers juridiques.
Encore une fois, quel que soit le sujet de votre mésentente avec votre employeur, vous serez consultée ou consulté à chaque étape du processus.

Réflexion sur l'avenir de l'éducation en langue française financée par les fonds publics en Ontario

L'avenir de l'éducation en langue française : une réflexion franco-ontarienne collective

L'AEFO vient de lancer Entre nos mains : l'école franco-ontarienne de demain, une réflexion provinciale collective sur l'avenir de l'éducation en langue française financée par les fonds publics. Échelonnée sur plusieurs mois, la réflexion portera d'abord sur les défis et les enjeux que connaissent actuellement nos écoles. Par la suite, en s'appuyant sur les forces de notre système d’éducation de langue française, la réflexion portera sur les moyens auxquels il serait possible de songer pour garantir sa pérennité.

Des consultations auprès des membres de l’AEFO, des partenaires et des communautés franco-ontariennes auront lieu de novembre 2021 à mars 2022 et culmineront par la tenue d’un sommet en mai 2022.

Pour plus d’information: Entre nos mains : l’école franco-ontarienne de demain.

Administratrice et administrateur au conseil d'administration (CA) : deux unités font leur choix

Les unités 64 et 66 ont récemment choisi deux membres qui siégeront au CA de l'AEFO.

Pascal Chéron et Francis Bourgon siégeront au conseil d'administration 2022-2024 lorsque l'assemblée annuelle aura entériné le choix des unités 64 et 66, les 26 et 27 février 2022.

Que fait le CA?

Affaires financières, budget, gouvernance, syndicalisme et bien d’autres sujets… Le conseil d’administration (CA) prend des décisions qui concernent tous les membres de l’AEFO.

Qui fait partie du CA?

Des membres de l’AEFO : les membres du comité exécutif et jusqu'à 17 personnes provenant de chacune des 17 unités de l’AEFO.

Déléguées syndicales et délégués syndicaux : inscrivez-vous à votre Webinaire de novembre!

Les déléguées syndicales et les délégués syndicaux jouent un rôle doublement important en étant le premier lien entre l'AEFO et ses membres, et en offrant un soutien à leurs collègues. Votre engagement syndical est très précieux pour nous. Pour continuer à vous appuyer dans votre rôle, l'AEFO vous invite à participer au prochain séminaire conçu spécialement pour vous.

Webinaire du 25 novembre
Comment une meilleure connaissance de soi peut-elle vous aider à gérer votre santé mentale et à offrir un soutien aux autres?

Ce webinaire gratuit vous donnera des outils dont vous pourrez vous servir pour renforcer votre santé mentale tout en offrant un soutien à vos pairs. Animé par Tara Achkar, de Starling Minds, le webinaire couvrira les points suivants :

  • Les 5 grands traits de personnalité pour mieux gérer vos relations personnelles et professionnelles.
  • Les pratiques et les stratégies pour créer des liens plus positifs et rompre les anciens liens problématiques au travail et à la maison.
  • Le développement de la conscience de soi et le développement personnel par la thérapie cognitivo-comportementale.

Un Petit GDS revisité… en deux clics!

Le Petit GDS (guide de la déléguée syndicale et du délégué syndical) s’est refait une beauté! Maintenant entièrement interactif et intégré directement au site Web, consultez-le pour en apprendre davantage sur votre rôle et trouver des réponses à vos questions.

Le petit GDS version PDF
Les petit GDS page web

L’assemblée annuelle locale de l’Unité 202

L’assemblée annuelle locale de l’Unité 202 – Claudel soutien (Lycée Claudel) s’est tenue en présentiel le 10 novembre. La présidente de l’AEFO, Anne Vinet-Roy (au centre, chandail noir) était également présente et a remercié les membres de leur accueil chaleureux.

Photo de groupe

Le programme de prévention des mauvais traitements d'ordre sexuel, une nouvelle obligation pour les membres de l’OEEO

Le gouvernement ontarien a modifié la Loi sur l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEEO) afin d’ajouter la réussite d’un programme de prévention des mauvais traitements d'ordre sexuel comme nouvelle condition de certification.

Ainsi, toutes les personnes qui feront demande à l’OEEO devront compléter le programme avant d’obtenir leur certification. Pour les membres actuels, une période allant du 3 janvier au 31 août 2022 est prévue pour répondre à cette nouvelle exigence.

Le programme est offert entièrement en ligne et il faut compter environ 2 h 30 pour le compléter. Il peut être suivi en plus d’une session. Une fois le programme complété, une mention sera inscrite à cet effet sur la carte de compétence des membres. Le programme n’aura pas besoin d’être refait une fois qu’il est complété.

Toute l’information relative au programme de prévention des mauvais traitements d'ordre sexuel est disponible sur le site Web de l’OEEO.

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Position de l’AEFO

Les changements à la Loi sur l’OEEO ont été faits dans le cadre de l’adoption du projet de Loi de 2020 sur la protection, le soutien et la relance face à la COVID-19 (mesures budgétaires) sans aucune consultation préalable avec l’AEFO.

Au printemps 2021, en suivi à l’adoption de la Loi, la Fédération des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (FEO) et les syndicats de l’enseignement, dont l’AEFO, ont demandé que le programme soit mis en place en limitant les impacts possibles sur les membres actuels notamment en faisant en sorte que la formation puisse être suivie pendant la journée de travail. Cette proposition n’a pas été retenue par l’OEEO.

L’AEFO est en discussion avec les conseils scolaires afin d’explorer la possibilité que du temps soit alloué par l'employeur pour compléter ce programme. Nous vous tiendrons informés des développements.

Mérite franco-ontarien

Prix pour membres exceptionnels : soumettez une candidature!

Chaque année, l’AEFO décerne le Mérite franco-ontarien à :

  • un membre de l'AEFO qui, par son engagement exceptionnel auprès de la jeunesse franco-ontarienne, a contribué au rayonnement de la langue française et de la culture francophone; et
  • un membre de l’AEFO qui a démontré un engagement syndical exceptionnel envers les membres de l’AEFO dans les lieux de travail.

Pour soumettre la candidature d’une ou d’un collègue, il suffit de vous assurer que cette personne est bien membre de l’AEFO, puis de remplir le formulaire de mise en candidature que vous trouverez sur le site de l’AEFO. Date limite : 30 novembre 2021.

Le Mérite franco-ontarien sera remis aux deux récipiendaires lors de l’assemblée annuelle de l’AEFO, en février 2022. 

Écoutez l’histoire des récipiendaires :

Luc Bernier, membre de l’Unité 58 - Centre-Sud et Sud-Ouest publique
Lise Groleau, membre de l'Unité 61 - Moyen-Nord catholique
André Lemieux, membre de l’Unité 65 - Est catholique
Marc St-Georges, membre de l’Unité 60B - Nipissing catholique

L'AEFO est membre de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE), une alliance nationale d’organismes d’enseignement provinciales et territoriales. À ce titre, nous avons le plaisir de partager avec vous cet article d’opinion du président de la FCE, Sam Hammond.

C’est dans les classes que commence la lutte contre les changements climatiques

Sam Hammond

Plus tôt cette année, le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, et son centre canadien de l’énergie se sont attiré beaucoup de colère par leur utilisation des fonds publics de la province pour tenter d’empêcher la diffusion d’un film de fiction pour enfants dans lequel une société pétrolière malveillante veut détruire le paysage immaculé de l’Alaska. Évidemment, j’aurais de loin préféré que le premier ministre de l’Alberta consacre moins d’argent à se battre contre un film pour enfants de Netflix et plus pour soutenir les travailleuses et les travailleurs du secteur public, mais je dois reconnaître que M. Kenney et son gouvernement avaient raison sur une chose : quand il est question de changements climatiques, les enfants savent de quoi on parle!

À la demande de ses organismes membres et associés, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE) a pris de nombreux engagements dans le dossier des changements climatiques. En tant qu’éducatrices et éducateurs, nous reconnaissons l’importance d’enseigner, aux élèves de la maternelle à la 12e année, les conséquences négatives des changements climatiques et la meilleure façon de les atténuer.

Il est déjà arrivé, par le passé, que le corps enseignant prenne les devants alors que les gouvernements traînaient de la patte face à certaines problématiques. Il a souvent donné du pouvoir aux personnes en quête de justice sociale et d’équité, les aidant, ce faisant, à parler d’une voix plus forte.

Aujourd’hui, nous devons faire la même chose pour la justice climatique. Au Canada, ce domaine, comme celui de l’éducation, relève des instances provinciales et territoriales. Or, rares sont celles parmi ces instances qui incluent les changements climatiques dans les programmes d’études. Il faut que cela change! Nous voyons bien à quel point les enseignantes et les enseignants, les élèves et leurs familles s’inquiètent de la qualité de l’air et de l’eau, et d’un avenir incertain. En septembre 2019, avant qu’une réalité complètement différente ne s’impose à nous, des millions de Canadiennes et de Canadiens, dont de nombreux élèves, étaient descendus dans les rues pour réclamer des changements systémiques à la défense du climat. Aux élections fédérales de 2021, une majorité d’électrices et d’électeurs ont appuyé les partis dont la plateforme faisait une place centrale à la question des changements climatiques. Collectivement, nous comprenons l’importance critique de ce dossier et c’est pourquoi il nous faut faire de l’éducation dans ce domaine un élément intégral des programmes d’études dans toutes les provinces et tous les territoires du Canada.

Comme les années que j’ai passées à la tête d’organismes me l’ont appris, les approches qui ne partent pas de la base sont infructueuses. La CTF/FCE est au courant des engagements proposés par le Canada à la COP26 et y adhère, notamment la volonté d’imposer un plafond aux émissions qui, certes, représente un bon début. Cependant, un engagement véritable pour un monde durable doit commencer par un effort d’éducation afin que la population saisisse bien les difficultés posées par les changements climatiques et le genre de mesures et de réorientations nécessaires pour faire face à la réalité d’une planète qui se réchauffe. Dans la foulée de Glasgow, j’espère que les changements climatiques resteront au premier plan des préoccupations sur la Colline du Parlement et dans l’ensemble de la population canadienne. Il faut que les provinces et les territoires mettent en place un plan sérieux pour faire avancer la compréhension des changements climatiques, mais son élaboration doit se faire en collaboration avec des chefs et des gardiennes et des gardiens du savoir autochtone, des scientifiques du domaine, des élèves et des éducatrices et des éducateurs, et à l’initiative de toutes ces personnes. Nous encourageons le gouvernement fédéral à trouver des manières de travailler avec les gouvernements, sans oublier les ministres de l’Éducation, des provinces et des territoires afin que les changements climatiques et les moyens de les atténuer fassent partie de l’apprentissage quotidien.

Le personnel enseignant est guidé par un souci altruiste de donner aux élèves les meilleurs outils qui soient pour affronter un avenir incertain. Malheureusement, avec notre mauvaise gestion de la crise climatique jusqu’à présent, nous avons plutôt laissé tomber la génération de nos enfants. Aussi devons-nous absolument, et dès aujourd’hui, lui fournir la connaissance et la capacité qui lui permettront de ne pas répéter les erreurs passées.

Nous avons la chance d’avoir un environnementaliste à la tête du ministère de l’Environnement et du Changement climatique; c’est signe que le gouvernement fédéral prend au sérieux les menaces du réchauffement planétaire. De plus, comme l’ont clairement montré les dernières nouvelles sur les sables bitumineux, la guerre des relations publiques pour faire taire les critiques perd du terrain face à un public de plus en plus défavorable à l’exploitation pétrolière. Tout cela est bien, mais la voie vers un avenir durable passe inévitablement par la salle de classe.

Il serait difficile de trouver des écoles où le personnel enseignant ne traite pas de l’environnement et des problèmes associés aux changements climatiques; la plupart du temps, il le fait à sa propre initiative, mais de plus en plus souvent, à celle des élèves. Cela dit, lorsqu’un changement survient dans le programme d’études, sa réussite dépend de la capacité des enseignantes et des enseignants de l’intégrer au plan de leçon et de la liberté dont ils disposent pour le faire.

À la CTF/FCE, nous savons qu’il faut donner aux membres de la profession enseignante la marge de manœuvre et les outils d’apprentissage et d’enseignement qui leur permettront non seulement d’ajouter à leur programme des leçons sur le développement durable, mais aussi de les adapter aux méthodes qui sont les leurs, ainsi qu’aux réalités géographiques de ce vaste pays.

Eh oui, tenons-nous le pour dit! Le jour est arrivé où nous devons reconnaître l’importance de l’éducation pour préparer la prochaine génération face à des changements climatiques à l’intensité grandissante, mais aussi lui donner les moyens de changer les façons de faire pour arriver à une existence durable sur notre planète.

Sam Hammond
Président de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE)

L'éducation au service de la Terre

La Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE) appuie cette étude en distribuant le sondage et en partageant les résultats avec ses organismes membres et avec L'International de l'Éducation (EI) dans le cadre de leur engagement commun envers l’action climatique.

Sondage Canada, changements climatiques et éducation

Comment le public, les enseignantes, les enseignants, les parents et les élèves perçoivent-ils l’éducation au changement climatique dans les écoles du pays? Et quelles pourraient être les mesures de soutien pour enseigner efficacement ce sujet dans les salles de classe? Répondre à ces questions est le but de ce sondage. Ses résultats serviront à formuler des recommandations à l’intention des gouvernements, des districts scolaires et des éducatrices et des éducateurs, le tout dans le but d’aider les jeunes du Canada à aborder l’enjeu du changement climatique.

  • Le sondage, confidentiel, devrait vous prendre de 15 à 20 minutes.
  • En participant, vous courez la chance de gagner un Chromebook (il faut avoir plus de 18 ans pour participer).
  • Ce sondage est effectué par L’éducation au service de la Terre (LST) avec le soutien d’Environnement et Changement climatique Canada.

Quelques astuces pour entreposer votre véhicule sans tracas

Vous conduisez moins, peut-être parce que vous vous déplacez moins souvent vers votre lieu de travail ou que vous avez décidé d’entreposer votre véhicule pour la saison hivernale. Cela dit, afin d’éviter les maux de tête lorsque viendra le temps de le remettre sur la route, voici quelques astuces qui vous permettront de le tenir en bon état! 

Pour plus d’information, rendez-vous au raeoassurance.com/nouvelle128.

RAEO

Et aussi...

30 minutes le 7 décembre pour votre bonne forme mentale
30 minutes le 7 décembre pour votre bonne forme mentale

Faites de votre bien-être une priorité et participez à la prochaine séance des Moments du mardi du programme Starling. En 30 minutes, vous apprendrez entre autres à diminuer le stress, à briser les tendances nuisibles en reconnaissant vos déclencheurs, ainsi qu’à créer des situations équilibrées pour gérer vos pensées répétitives. C’est un rendez-vous le 7 décembre à 17 h (HNE)! Au programme : l'imagerie guidée.

Une nouvelle direction générale pour l'AEFO
Une nouvelle direction générale pour l'AEFO

Le conseil d'administration et toute l'équipe de l'AEFO félicitent chaleureusement Anne Lavoie pour sa nomination au poste de directrice générale et secrétaire-trésorière de l'Association. Anne Lavoie entrera en fonction le 1er janvier 2022. Elle succède à Pierre Léonard, qui prend sa retraite après 17 années à l'AEFO.

Inscrivez vos élèves au défi de la Charte avant le 3 décembre!
Inscrivez vos élèves au défi de la Charte avant le 3 décembre!

Le Défi de la Charte amène vos élèves à explorer des questions sociales complexes en utilisant des scénarios fictifs qui s’inspirent de décisions judiciaires importantes fondées sur la Charte canadienne des droits et libertés. Ce faisant, ils en viennent à mieux comprendre l’importance de la Charte et les limites de la loi. Date limite pour inscrire votre classe : 3 décembre 2021. Info : Réseau ontarien d’éducation juridique (ROEJ).

Le CA en bref
Le CA en bref

Jetez un coup d’œil à notre dernière édition du CA en bref… pour toutes les nouvelles sur les décisions du conseil d’administration de l’AEFO. Lire Le CA en bref du 6 novembre 2021.

Étude de cohorte COVID-19 pour les enseignantes et les enseignants et les travailleuses et les travailleurs de l'éducation
Étude de cohorte COVID-19 pour les enseignantes et les enseignants et les travailleuses et les travailleurs de l'éducation

Sinai Health est à la recherche de participantes et de participants pour une grande étude en ligne sur les impacts de la COVID-19 sur le personnel enseignant des écoles de l'Ontario. Pour en savoir plus, visitez le site Web de l'étude.

Consultez les résultats préliminaires.

Journée internationale des personnes handicapées
Journée nationale de commémoration et d'action contre la violence faite aux femmes
Journée des droits de la personne