INFORME SES MEMBRES DEPUIS 1977 / NUMERO 751 / DÉCEMBRE 2021

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J'ai entendu dire que les intempéries ne sont pas une raison suffisante pour ne pas me rendre au travail. Est-ce vrai?  

Cela dépend de votre convention collective… et de votre situation particulière. En hiver, se rendre au travail peut parfois être difficile en raison des intempéries. Avant de quitter votre domicile, assurez-vous de communiquer avec votre superviseure immédiate ou votre superviseur immédiat afin de lui donner l’heure approximative de votre arrivée. Si les routes menant à votre domicile sont fermées, ou si l’idée de prendre le volant vous rend nerveuse ou nerveux, veuillez en aviser votre superviseure ou superviseur dès que possible.

Certaines conventions collectives mentionnent qu’en cas d’intempéries, il est possible de travailler à partir d’un autre site ou de prendre un congé personnel, un congé sans solde, etc. L'AEFO vous conseille de consulter votre convention collective pour bien vous assurer que ces options sont effectivement possibles pour vous. Nous vous conseillons également de prendre connaissance de la politique de votre employeur en cas de tempête de neige ou d’intempéries. Et enfin, si les consignes de votre employeur ou de votre superviseure ou superviseur vous semblent déraisonnables ou injustes, n'hésitez surtout pas à communiquer avec l’agente ou l’agent de votre unité de l’AEFO.

L’équilibre entre le travail et la vie personnelle est-il réalisable? Selon la conférencière Stéphanie Milot, la réponse est un oui enthousiaste. Apprenez avec elle comment mettre en place des stratégies efficaces afin de parvenir à cet équilibre.

L’invitation est lancée à tous les membres de l’AEFO!

QUAND? Mercredi 19 janvier 2022 de 18 h 30 à 20 h

Date limite pour s’inscrire : le 13 janvier 2022

La présidente de l’AEFO, Anne Vinet-Roy, a été très heureuse de se retrouver, les 6 et 7 décembre, à la conférence annuelle des associations francophones d’éducation au Canada (CAFÉ) en compagnie de la première vice-présidente de l’AEFO, Gabrielle Lemieux, et de la directrice générale adjointe de l’AEFO, Anne Lavoie. Au menu : des échanges sur les conséquences de la pandémie et de la pénurie sur les membres des syndicats de la CAFÉ; des discussions sur la création d’un espace de croissance pour la diversité, l’équité et l’inclusion; et la remise du prix de la CAFÉ.

Des représentantes et des représentants des syndicats suivants étaient également présents : l’Association des enseignantes et des enseignants francophones du Nouveau-Brunswick (AEFNB), les Éducatrices et éducateurs francophones du Manitoba (ÉFM), The Manitoba Teachers' Society, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE), la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ), la Newfoundland and Labrador Teachers' Association et le Syndicat des enseignantes et enseignants du programme francophone de la Colombie-Britannique (SEPF). Merci aux ÉFM pour l’organisation de la conférence!

Cette formation vise, entre autres, à réduire l’insécurité linguistique au travail et à renforcer la capacité à communiquer avec les parents. Du français en quelques clics s’adresse aux personnes qui étudient ou qui œuvrent dans le domaine de la petite enfance, ou qui aimeraient travailler dans ce secteur. Les personnes issues de l’immigration récente sont les bienvenues! INFO : Coalition ontarienne de formation des adultes (COFA) glopez@coalition.ca.

L’Unité 203 de l’AEFO a récemment accueilli 59 nouveaux membres de l'OPSEU/SEFPO. Afin de refléter ce changement, le nom de cette unité est maintenant Unité 203 – Le Cap. Cette décision a été prise par les membres lors de la première assemblée annuelle (AA) de cette unité « unifiée », qui s’est déroulée virtuellement le 2 décembre. La présidente de l'AEFO, Anne Vinet-Roy, a remercié la présidente par intérim, Karianne Dufour, pour son travail et son dévouement. Elle a ensuite parlé des négociations en vue d’obtenir une toute première convention collective pour l’Unité 203 – Le Cap, qui débuteront en 2022. Les membres, qui ont déjà été consultés à ce sujet, sont invités à communiquer avec leur agent, Philippe St-Amant, pour toute question concernant leurs conditions de travail.

Comment le public, les enseignantes, les enseignants, les parents et les élèves perçoivent-ils l’éducation au changement climatique dans les écoles du pays? Et quelles pourraient être les mesures de soutien pour enseigner efficacement ce sujet dans les salles de classe? Répondre à ces questions est le but de ce sondage. Ces résultats serviront à formuler des recommandations à l’intention des gouvernements, des districts scolaires et des éducatrices et des éducateurs, le tout dans le but d’aider les jeunes du Canada à aborder l’enjeu du changement climatique.

• Le sondage, confidentiel, devrait vous prendre de 15 à 20 minutes à compléter.
• En participant, vous courez la chance de gagner un Chromebook (il faut avoir plus de 18 ans pour participer).
• Ce sondage est effectué par L’éducation au service de la Terre (LST) avec le soutien d’Environnement et Changement climatique Canada.

La Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE) appuie cette étude en distribuant le sondage et en partageant les résultats avec ses organismes membres et avec L'Internationale de l'Éducation (EI) dans le cadre de leur engagement commun envers l’action climatique.

Au fil des mois, la pandémie mondiale de COVID-19 se poursuit, avec de nouvelles normes en constante évolution quant à la façon dont nous devons vivre notre quotidien. Nous savons que les mesures préventives d’auto-isolement et de distanciation physique sont nécessaires pour ralentir la propagation du virus et le risque d’infection. Cependant, ces changements à nos habitudes risquent d’avoir des effets psychologiques, comme l’isolement.

En effet, que l’on travaille de la maison, ou que l’on soit en quarantaine parce qu’on a contracté le virus, ou qu’on veuille faire sa part pour ralentir la propagation de la COVID-19, être confinée ou confiné à son domicile avec peu d’interactions sociales peut avoir des répercussions sur la santé mentale. Il est extrêmement important d’avoir des stratégies qui vous aideront à faire face à l’isolement. Voici quelques méthodes à essayer :

1. Établissez un horaire quotidien afin de structurer votre emploi du temps.
2. Tenez-vous informée ou informé, mais limitez votre consommation de médias à des sources réputées.
3. Gardez le contact avec vos proches. Communiquez avec vos amis et les membres de votre famille par téléphone ou par vidéo.
4. Trouvez un passe-temps sain. Apprenez-en un nouveau ou développez une compétence que vous avez négligée jusqu’à maintenant.

Portail pour votre santé mentale

L’article sur l’isolement des employées et des employés est tiré du site monhomeweb.ca, un portail pour la santé mentale qui s’adresse aux enseignantes régulières et aux enseignants réguliers et à leur famille. Le portail homeweb.ca comprend une foule de renseignements utiles : santé mentale, milieu de travail, éducation des enfants, finances, vie étudiante, etc.

ATTENTION : vous devez vous connecter à titre de membre régulier de l’AEFO pour y avoir accès.

« Cette modification est une mesure positive vers l’octroi de prestations aux membres du Régime touchés par certains évènements de la vie qui les ont obligés à travailler à temps partiel. La possibilité d’acheter des droits à pension pour la période d’emploi touchée permet aux membres de conserver les prestations de retraite qu’ils auraient autrement acquises, a déclaré le président de la FEO, Chris Cowley. »

En tant que corépondants du Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (RREO), la Fédération des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (FEO) et le gouvernement de l’Ontario ont convenu de modifier les modalités du RREO afin d’offrir l’accès à une prestation supplémentaire pour les membres qui travaillent à temps partiel en raison d’une invalidité ou de responsabilités liées à la garde d’enfants. Cette prestation supplémentaire, assujettie à la Loi de l’impôt sur le revenu (LIR) du Canada, permettra aux membres d’acquérir des années de service décomptées ouvrant droit à pension pour des périodes de travail réduit en raison d’une invalidité ou de responsabilités liées à la garde d’enfants. En vertu de cette modification, les employeurs cotiseront un montant égal aux cotisations des membres servant à l’achat de ces périodes de travail réduit.

Les membres qui correspondent à la définition d’« invalide » donnée au paragraphe 8500 (1) du Règlement de l’impôt sur le revenu pourront acheter des années de service décomptées pour une période de travail réduit en raison d’une invalidité, sous réserve de certaines exigences, notamment :

• en raison de l’invalidité, le membre est incapable d’exercer les fonctions de l’emploi qu’il occupait juste avant de devenir invalide;
• le membre travaille à temps partiel pour l’employeur durant la période selon un plan d’adaptation approuvé par l’employeur;
• le membre doit produire au RREO un rapport concernant son problème de santé, signé par un médecin agréé, une infirmière praticienne ou un infirmier praticien agréés de l’Ontario, ainsi qu’un rapport signé par l’employeur précisant le plan d’adaptation et le congé à temps partiel.

Sous réserve de la LIR, un membre peut acheter des années de service décomptées pour une période temporaire de travail réduit en raison de responsabilités liées à la garde d’enfants, moyennant certaines exigences, notamment :

• les heures de travail du membre pour l’employeur sont réduites durant la période en question;
• l’administratrice ou l’administrateur du régime de retraite est d’avis que l’employeur a approuvé la réduction des heures de travail pour des motifs liés aux responsabilités du membre liées à la garde d’enfants.

Les membres pourront acheter des périodes de travail réduit en raison d’une invalidité ou de responsabilités liées à la garde d’enfants prenant fin le 1^er septembre 2017 ou après.

Aucune action immédiate n’est requise pour l’instant, puisque les nouvelles dispositions n’entreront pas en vigueur avant le 1^er septembre 2022. Dès le début de 2022, le RREO donnera des renseignements supplémentaires au sujet de cette modification ainsi que des détails sur la façon de présenter une demande d’achat de périodes de travail réduit.